Philosophie de la Liberté- - R Steiner GA004
Philosophie de la Liberté- - R Steiner GA004
Observations de l'âme conduites selon la méthode scientifique
Fondement de la science spirituelle selon l’anthroposophie. Rudolf Steiner aborde ici les problèmes de base de l’éthique et du processus de la connaissance.
Extrait du sommaire:
- Fondement de la science spirituelle selon l'anthroposophie
- Pensée, instrument de conception du monde.
- Connaissance de l'uniser.
- Réalité de la liberté: facteurs de la vie.
263 pages.
GA004«Celui qui le veut pourra trouver déjà les principes fondamentaux de l’anthroposophie dans ma Philosophie de la liberté. Je veux seulement faire ressortir aujourd’hui ce seul point que cette Philosophie de la liberté, par une nécessité interne, attire tout d’abord partout l’attention sur un royaume spirituel où sont, par exemple, puisées les impulsions morales. Si bien qu’au sens de La philosophie de la liberté on ne peut donc pas en rester au monde des sens, mais qu’il faut progresser jusqu’à un royaume spirituel fondé en lui-même. L’existence d’un monde spirituel prend même de plus cette forme concrète tout à fait autre: l’homme, dans son être le plus profond, n’est pas étroitement lié au monde sensible, mais il est, dans cet être le plus profond, étroitement lié au monde spirituel. Ces deux choses sont à l’évidence les points fondamentaux de La philosophie de la liberté.»
Rudolf Steiner, le 11 juin 1923
«L’individualisme éthique <...> se fonde en réalité <...> sur l’impulsion christique en l’homme. Il se fonde sur ce que l’être humain conquiert en tant que liberté lorsqu’il transforme ce qui est appelé dans ma Philosophie de la liberté, le penser pur qui s’élève au monde spirituel et fait naître du monde spirituel les impulsions des actes moraux; les fait naître par le fait que quelque chose qui est d’ordinaire lié à la corporéité humaine, l’impulsion de l’amour, est élevé et spiritualisé. Et par le fait que les idéaux moraux sont empruntés au monde spirituel par l’imagination créatrice morale, ils se manifestent dans leur force, ils deviennent la force de l’amour spirituel.»
Rudolf Steiner, le 24 mai 1920
272 pages.